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Le premier X-Men m’avait tellement plu que je m’étais cassé une demi-heure avant la fin. Je n’étais pas du tout arrivé à y entrer dedans. La scène d’ouverture dans le camp de concentration m’avait outré, et j’avais fini par renoncer.

Et puis voilà. On se laisse plus ou moins séduire par la bande-annonce, on se dit qu’il va y avoir plein d’effets spéciaux, on écoute deux-trois copains hétéros qui ont aimé, et on fini devant X-Men 2.

En effet, il y a plein d’effets spéciaux assez impressionnants. Du coup, je suis resté jusqu’à la fin pour une fois (au cas où, j’avais pris mes précautions, et j’étais au bord de l’allée). Heureusement, hier, on m’a fait le résumé de l’épisode 1 (au fait, K’ & J’, il faudra à tout prix qu’on rebouffe ensemble avant Matrix 2). Parce que, je dois l’avouer, je suis pas sûr d’avoir tout compris encore à l’histoire. Et c’est là où j’ai vraiment du mal avec les films de SF. Les zyva qui emplissent les salles avec leur pop-corn et leur coca à ce genre de films, j’ai l’impression qu’ils pigent tout. Et moi à côté, je lutte contre le sommeil et du coup je capte pas tout. C’est frustrant à force !